Les traducteurs pratiquent des prix excessifs.
La traduction est un service fournit par des professionnels formés et expérimentés, le plus souvent dotés de qualité littéraires peu communes. Lorsque la traduction est certifiée, le traducteur engage sa responsabilité professionnelle, supporte des coûts inhérents à l’impression, à l’utilisation de sceaux et à l’inscription de la référence de ses travaux dans un registre. Ceci sans compter la charge administrative qui accompagne la gestion des devis et de la facturation. En outre, nous sommes assujettis au paiement de charges sociales et à l’impôt (TVA comprise), au même titre que toute entreprise.
Le traducteur est un dictionnaire « sur pattes ».
Le traducteur (comme la plupart de ses semblables) doit le plus souvent effectuer des recherches pour trouver le terme approprié à un domaine d’activité spécifique. Il ne peut pas se prononcer par téléphone, car son métier consiste justement à effectuer ces recherches terminologiques pour valider des choix. Lorsqu’il choisit un mot, c’est qu’il pense que le terme en question est le plus pertinent pour traduire le texte d’origine.
Le traducteur ne dort pas, peut travailler 12 heures par jour et traduire 10 pages en 15 minutes.
Le traducteur travaille le plus souvent 8 à 10 heures par jour, ce qui lui permet de se lever le lendemain et de fournir un service de qualité à ses clients. Malgré les outils performants dont nous disposons aujourd’hui, la part d’humain dans notre travail reste importante et justifiée; la langue reste un vecteur de communication utilisé entre êtres humains, elle mérite qu’on lui accorde du temps pour obtenir un résultat de qualité 😉