
Même si c’est le premier vocable qui semble avoir été retenu par les professionnels spécialisés, la question fait encore débat : faut-il appeler la transmission orale d’un message d’une langue vers l’autre : « interprétation » ou « interprétariat » ? Les tribunaux français persistent et signent : on parle encore de « traduction orale » dans la documentation du Ministère de la Justice. Difficile de s’y retrouver pour le commun des mortels…
La dernière enquête réalisée par la SFT sur ce domaine révèle une tendance positive pour les professionnels du secteur. Les efforts de promotion de la profession portent leurs fruits : aujourd’hui, près de 60 % des répondants ont suivi une formation spécifique. Toutefois, plus de 90 % des prestataires indépendants d’interprétation interrogés dans le cadre de l’enquête pratiquent aussi la traduction en complément de leur activité, ou en tant que principale source de revenus.
Les cabinets de traduction conservent la main mise sur ce domaine, car plus de 50 % des missions sont effectuées par l’intermédiaire d’une agence.
N’hésitez pas à consulter votre prestataire favori, il/elle sera enchanté de vous en dire plus sur ce métier passionnant.