
Les avocats sont naturellement amenés à faire traduire des documents dans le cadre de procédures, que ce soit à des fins de compréhension, ou plus prosaïquement, pour satisfaire à des exigences de formalisme.
Il est utile de rappeler que s’impose au conseil l’obligation ducroire. Il supportera les honoraires du traducteur en cas de défaillance de paiement des honoraires par son client.
Le tiers professionnel n’est pas lié au client de l’avocat par une quelconque relation contractuelle.
Lire davantage sur le sujet : http://www.avocatparis.org/mon-metier-davocat/deontologie/quest-ce-que-lobligation-ducroire
C’est ainsi qu’un avocat (ou un notaire) ne peut se dégager de la responsabilité de payer les honoraires aux traducteurs qu’il/elle sollicite au nom de son client final, même lorsque ce dernier refuse de payer pour x raison.